Lexann la Lame Gracieuse

Nom : -

Prénom : Lexann

Age : 20 ans

Sexe : Féminin

Physique: Lexann n'est pas très grande pour une jeune femme de 20 ans, c'est à dire qu'elle fait environ 1m64 en se haussant sur la pointe des pieds. Elle arbore une cascade de cheveux noirs, et des yeux d'un noir troublant, comme si ils étaient la source des Ténèbres elles-mêmes. Elle arbore le manteau des membres de l'Organisation XIII, et a toujours sous ce manteau un médaillon avec dedans une photo de son père. Ses vêtements, sans le manteau, se composent d'une jupe plissée noire très courte, d'un chemisier blanc, et d'un bandeau blanc avec une épingle dorée venant de sa grand mère.

Caractère: Lexann n'a pas un caractère facile. En effet, il est différent de savoir ce
que pense la jeune fille. En effet, qu'elle soit énervée ou qu'elle ait
son état normal, le visage de la jeune fille est impassible. Elle se
contente de regarder son interlocuteur droit dans les yeux, et cela
peur parfois mettre la personne en question mal à l'aise. Cependant,
lorsqu'elle est triste, elle déteste le montrer, et préfère aller
s'isoler seule. Effet, elle trouve que pleurer devant les autres est une marque de faiblesse, et essaie donc de paraître inébranlable et forte devant les autres, quitte à ce qu'on se trompe sur son compte. Ainsi, elle peut passer pour une fille froide, mais ce
n'est vraiment pas du tout le cas.

Histoire:


~~Qui...qui suis-je?
J'existe, mais seulement à moitié?
Ceux que j'aime, où sont-ils?
Un seul me manque vraiment...~~


~~Premières années...heureuses ?~~

La naissance... un
jour heureux. L'arrivée d'un enfant amène toujours une source de gaieté
dans une famille... toujours ? Pas tellement. En effet, je naquis dans des circonstances précaires. Certes mon père était là à
l'hôpital en compagnie de sa mère, mais tout ne fut pas rose pour moi, le
petit bébé. En effet,inventant rapidement une excuse plutôt plausible pour mon père qui décida de nous abandonner, moi et ma mère, se consacrant à son "travail", de mystérieuses recherches. Moi et ma maman, on a réussi a arriver chez ma grand-mère maternelle. Pourquoi
avaient-il fait cela ? Selon papa, ils avaient fait une immense erreur
en me concevant, et puis papa disait, (maman me le racontera par la suite), que son travail prenait tout son temps, et qu'il devait gagner de l'argent à tout prix. En effet, ils étaient assez pauvres, et avaient
peur de se faire prendre ce qu'ils avaient de plus cher, leur enfant.
En effet, j'étais, déjà bébé, d'une rare beauté, et dotée de pouvoirs encore
inconnus... ainsi donc, je grandis dans le village nommé... la
Forteresse oubliée ou anciennement le Jardin Radieux.

Ayant à
peine émergé de ma petite-enfance, c'est à dire environ vers mes six
ans, des événements étranges vinrent perturber ma vie de petite
fille. Lorsque je piquais de petites colères, j'étais capable de
détruire un objet à mains nues, sans pour autant se blesser. Lasse de
la gronder, sa grand-mère prit calmement sa petite-fille sur ses
genoux, l'interrogeant sur la manière dont cela s'était passé...
savait-elle seulement que sa petite-fille allait être en danger ?

~~La tristesse, puis la rencontre....~~

Alors que je revenais de l'école ( je devais avoir environ 12 ans) , une bande de garçons
ne cessait de l'embêter. Comme chacun le sait, à cet âge-là, les
taquineries ne sont vraiment pas méchantes... mais je ne l'avais pas encore compris, et je m'énervai . Fixant froidement le
garçon qui ne cessait de me tirer mon ruban bleu, je criai d'une voix
forte de me laisser tranquille, tendant mon bras vers lui. Quelle ne
fut pas la surprise de tout le monde lorsqu'il éjecta en arrière,
atterrissant dans une pile de caisses de bois vides ! Depuis ce
jour-là,tout le monde me craignit, me laissant dans un était de solitude profonde.

Ceci arriva alors que j'avais 14 ans : j'observais le vide, appelée par une envie de me jeter dedans...ma grand-mère et ma mère m'avait appris une terrible nouvelle... mon papa, mon père... il avait perdu son coeur suite à une terrible manipulation, il était mort, lui et ses collègues! Même si je ne l'avais vu que lorsque j'étais bébé, sa photo me faisait croire qu'il avait tout le temps été là... un sentiment de rage contre le chef de mon père, un dénommé Xehanort, envahit mon coeur. Soudain un homme aux longs cheveux gris apparut. Il me dit :

-Quel est ce doux sentiment qui est dans ton coeur ?
-Qui êtes-vous?! laissez-moi seule, ce n'est pas le moment !
-Oui...ce sentiment, celui de la haine et de la colère est très bénéfique si on sait s'en servir...
-Je vous ai dit de me laisser tranquille!!

Je fis alors apparaître une arme bien étrange pour une fille : un katana. Cette arme, c'était un héritage de ma famille, une sorte de talisman transmis de grand-mère à petite-fille. Hors de moi contre ce type qui n'avait rien du tout à faire là, je l'attaquai furieusement. Il rit doucement d'un air cruel, et m'infligea une sévère correction avec un sabre qui était d'une longueur inouïe. Mais curieusement, il ne me blessa que très légèrement, voulant me préserver... il me dit, après que nous rangeâmes nos armes :

-Ton tempérament me plaît énormément. Mon nom est Séphiroth, et je ne vis que pour éliminer une certaine personne... écoute moi, tu serais une excellente assistante. Mais même si je ne peux pas te prendre avec moi, je vais t'enseigner une chose qui te servira dans la vie, j'en suis sûr. Que dirais-tu de maîtriser parfaitement cette arme admirable que tu as là ? D'acquérir une rapidité fulgurante et une puissance hors normes?
-Hm... pourquoi pas... mais qu'est-ce que vous y gagneriez ? Ce ne serait pas un piège?
-Non, ne t'en fais pas. Eh bien ?
-Hum...d'accord.

Je regardai son aile noire et hochai la tête. Ainsi, cet homme se nommait Séphiroth? Mais j'avais déjà entendu un homme blond en parler, il me semblait... je gardai le silence sageement et me mis en devoir de l'écouter. Quelques temps plus tard, j'avais acquis une maîtrise redoutable de mon katana, alors que je n'avais même pas seize ans.

~~La mort d'un être cher...~~

J'eus 18 ans...Alors que je montais les marches menant à ma classe de bio-chimie, je sentis qu'une personne m'attrappa par le bras, avec une violence inouïe, et me retourna sans ménagement. Je levai les yeux, effrayée, et vis alors que toute une bande de jeunes hommes devant mes yeux. Le chef, celui qui me tenait par le bras, eut un sourire vraiment énigmatique...

-Regardez ça, les gars... mais qu'est-ce qu'on a là... c'est Lenna-la-terreur... eh bien, tu ne portes plus ce ridicule ruban? Je vais devoir tirer autre chose, maintenant...
-Ike ! Arrête ça ! Tu n'as donc pas grandi, après huit ans ?
-Il faut croire que non... alors, tu vas voir ce que ça fait de se sentir projeté à une vitesse folle... je ne sais pas comment tu as fait, mais tu vas me le payer, espèce de petite idiote... viens ici ! tu vas faire un sacré plongeon, poumm dans les marches...
-Hé ! Me touche pas ! Ne...lâche-moi !!!

Malgré toute ma faible résistance contre cinq garçons, ils eurent du mal à me tirer jusqu'au bord. Je reçus un coup de panique venant de mon coeur en voyant les marches, si proches...je fermai les yeux, sentant que tout était fini, puis...rien!



-Lâchez-la, espèce d'idiots!

Nous six, sous nous retournâmes d'un seul et même mouvement vers la personne qui avait parlé, et Ike me lâcha, tant il était étonné. Je fixai le jeune homme qui avait parlé ainsi, si courageusement, osant insulter ceux que l'on appelait "la terreur du Bourg".Le jeune homme s'interposa entre eux et moi, et Ike répondit :

-Bon, le rigolo... tu permets? T'es pas de notre classe, jme trompe? Va-t'en vite fait et laisse-nous jouer avant qu'on te fasse passer ton envie de jouer les princes charmants...
-Ike, arrête!
-Bah, laisse-le dire. je n'ai pas peur de toi, euh... Ike. Viens, si t'es un homme! Quant à toi, chuchota-t-il. Lorsqu'ils seront occupés vers moi, tu courras, aussi vite que tu pourras.

Ike sourit, ne refusant pour rien au monde cette provocation, occasion de prouver à "un jeune naze" qui est le chef. Il ordonna à ses sbires de bloquer toutes les issues, et s'approcha alors du jeune homme. Seulement, comme les sbires n'étaient que quatre, ils ne pensèrent pas à la porte menant aux couloirs du cinquième... je souris, mais souris moins en pensant au jeune homme. Seul contre 5, il n'avais aucune chance... mais il m'avait ordonnée de partir,,, d'un pas silencieux donc, je m'enfuis, l'abandonnant à un sort sans doute funeste.


~~A new life... XV
J'arrivai dans la rue, devant la boutique Mog. J'avais couru depuis le lycée sans m'arrêter... mais pourquoi avais-je fui comme une lâche? mais qui donc était-il, ce courageux jeune homme? Quels yeux plein de passion et de courage il avait... je levai les yeux vers le monticule où se situait notre école et soupirai. Un puissant sentiment m'empêcha d'y retourner, et je rentrai à la maison, la mort dans l'âme. Je ne croyais pas si bien dire...
Le lendemain, ma mère me regarda étrangement à mon réveil, imitée par ma grand-mère.

-Maman? Granny? Qu'est-ce qui se passe?
-Ma chérie, je suis désolée...
-Lis "Forteresse Hebdo", tu comprendras...

Je hochai la tête et saisis alors le journal. Mon regard se pila net sur un seul titre, celui de la Une : UNE TRISTE DECOUVERTE. Le geste tremblant, j'inspirai et lut l'article, et mon regard retomba fixe sur le début : "Hier soir tard, vers dix heures, le concierge du Lycée du quartier des Faubours fit une macabre découverte. Un jeune homme gisait sans vie devant une volée d'escaliers, celle du quatrième étage. Ce jeune homme porte des traces de lutte sur le corps et le visage, mais ne semble pas avoir succombé à ses blessures. Selon ses papiers d'identité, son nom était Medy. La.........."

Medy...

C'était là le jeune homme qui m'avais sauvée hier, et que j'avais abandonné lâchement ! J'en fus si traumatisée que j'en lâchai le journal et filai dans ma chambre. Je stoppai les cours du lycée, que je prenais par correspondance, avec un suivi continuel de mes deux parentes. Mon coeur était si vide à présent... je ne l'avais pas remercié, et maintenant il était mort... j'avais encore ses yeux en mémoire, et me maudissais sans cesse. Mais pourqoi étais-je si maudite? Voilà le second homme qui m'était cher qui était parti...
Je pris une terrible décision deux ans plus tard. Le coeur rongé de remords, je décidait qu'il fallait que tout cela cesse. J'embarquai mon médaillon avec la photo de mon père et me rendis au bord du précipice où j'avais vu Séphiroth. Là, sans hésiter, mon pied frôla le bord et alors que j'allais sauter, un vortex de Ténèbres s'ouvrit.

-Attends, ne fais pas ça.
-Qui êtes-vous? Qu'est-ce que vous me voulez? Pourquoi vous me parlez?
-Tu as beaucoup de questions, n'est-ce pas? "Pourquoi"... ce mot est si important... tu ne veux pas savoir pourquoi ton père est mort? tu ne veux pas savoir pourquoi tes deux amis l'ont été aussi ? Ne veux-tu pas savoir ce qu'ils faisaient? Ne veux-tu pas les revoir? Quel est ton nom?
-Bien sûr! Mais...comment faire? Je m'apppelle Lenna...
-Viens donc avec moi. Tu verras... tu rejoindras un endroit mystérieux certes, mais ce sera un lieu de retrouvailles...es-tu prête à mettre tes compétences à notre cause, à prêter serment?
-D'accord. Je veux les revoir...
-Que cela se fasse.

Il ôta sa capuche, et je le vis alors: il avait des cheveux bleus, et un air vraiment... cruel. Il leva les bras, et je vis alors que tout tournait, comme si je pris un manère démentiel. Soudain, comme émergeant d'un brouillard, lentement, une image apparaissait. Celle de ... papa...j'allais donc le revoir, m'avais promis cet homme... Je sentis une immense douleur dans ma poitrine, qui me fit perdre connaissance.

- Bienvenue parmi nous, n° XV.

Jamais je ne te sentait si loin et si proche de moi, papa...

Braig.






Pouvoir: Force surhumaine
Invocation des Simili de base ( De Reflet à Samourai)
Télékinésie

Lieu de résidence: Forteresse de l'Organisation XIII, à Illusiopolis

Êtes-vous un simili, un sans cœur, ou un être normal ? : Simili

Avez-vous des armes ? Précisez-les. : Un Katana

Autres comptes ? : Arya

Veuillez vous inscrire au groupe auquel vous apartenez : [L'Organisation XIII ]