HRP:(autant inaugurer cette endroit ^^)
Fillian se proméne dans la Terre Sauvage, il avait senti un appel de détresse venant de ce lieu si peu habité; cela le rassuré, il reste encore des endroits sans aucune marque de Lumire ou de Ténébres; aucune forçe de ce monde as prit un partit entre les deux fronts qui s'oppose. "La Nature n'est du côté de personne car personne n'est de son côté" : c'est ce que sa disait tout le temps Fillian quand il voyait une nature sali de la main Humaine ou, encore pire, de la main des Ténébres ou de la Lumiére.
Fillian s'avance encore plus dans les plantes sauvages de ce monde, toute pense par elle même; il faisiait attention de ne marcher sur aucune des plantes basses qui jaillissent du sol.
Toutes les voix des plantes de ce lieu parlaient en même temps sans lui laisser à Fillian le tent de penser. Il est arrivé à une clairiére d'où il peut se concentrer un peu dans le calme.
Il s'asseye et ferme les yeux pour mieux percevoir la nature environnente, son écharpe même lui couvre le nez. Moins nos sens sont utilisés et plus la concentration est grande.
Les voix paralaient vite et par bribe, il ne percevait et comprenait rien à ce qu'elle disaient.
*Fuis.............rrive......tôt.....*
*elle............pa
*Rien ..............arrête....*
*Non....pas...............écoutes*
Le bruissement de leur pensée n'avait aucun sens à ses Yeux, les plantes restent trop sauvage pour parler en Harmonie,quelque chose avec une forçe psychique élevé devait empécher Fillian de lire les plantes de ces bois même le craquement d'une branche morte n'arrivât pas à prévenir Fillian du danger qui s'approche, trop concentré il ne pouvait rien sentir autour de lui même pas une silhouette à travers les arbres. La concentration est à double tranchant quand on l'utilise sans protection.
Fillian commençait à sentir un certains malaises à rester là, il sentait que quelque chose dérengé les plantes, mais il n'arrivait pas à savoir quoi, elles étaient trop paniquer pour repondre et même si elle le voulaient elle ne pouvaient pas. La forçe psychique qui embrumait tout dégageait une sensation byzarre, qu'il n'aurait pas put decrire sur le coup; elle était pleine d'idées qui ne seraient jamais venu à des personnes normales; l'inconveniant était qu'on ne pouvait pas facilement lire ses pensées et son esprit, et pourtant il est d'une puissance tel que Filllian n'en avait jamais vu.
Fillian se réveillat d'un coup en sueur, comme s'il avait affronter un enemi il y a quelques secondes; il était agenouillé sur le sol et respirait bruyemment sans percevoir que ce qui le traumatisé sa trouvait à quelques métres de lui.
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